• A la différence d’autres normes ISO, l’ISO 26000 n’est pas une norme certifiante. • L’ISO 26000 fixe des lignes directrices à mettre en oeuvre en matière de RSE, mais elle ne donne pas d’indicateurs opérationnels à respecter. • Partant de ce constat, le label RSE 26000 a été construit autour de 116 indicateurs opérationnels, immédiatement applicables dans une entreprise ou une organisation publique, s’appuyant sur l’ISO 26000, les 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU, les critères ESG, le pacte vert de l’Union européenne, … • Le label RSE 26000 est aujourd’hui un des labels les plus complets sur le marché car il reprend les meilleurs standards internationaux, européens et français en RSE.

• Le label RSE 26000 assure à une organisation la prise en compte dans ses activités quotidiennes des nouvelles attentes des personnes à recruter, des collaborateurs, des clients, des financeurs et des institutions. • Il vous guide dans la prise en compte des nouvelles attentes sociales, économiques et environnementales lors de vos prises de décision.

• Pour que le label soit utile, il doit être évalué par un organisme indépendant, dont c’est le métier. • Il est utile car il assure auprès de vos parties prenantes internes et externes que dans le cadre de vos activités, vous prenez en compte et respectez des considérations sociales, économiques et environnementales correspondantes aux attentes d’une société devant répondre aux défis de la lutte contre le changement climatique, de la qualité de vie au travail, de la préservation des ressources naturelles, de la satisfaction client, ainsi que du respect par vos fournisseurs des droits humains en matière de lutte contre le travail illégal, le travail des enfants, la lutte contre les pollutions, la corruption, etc. • En vous accordant leur confiance, vos parties prenantes savent que vos activités ont un impact positif sur la société. C’est le label qui en atteste.

• Pour être reconnu comme légitime et de qualité, un label doit être délivré par une tierce partie indépendante après un audit d’évaluation. • Cela évite les labels auto-proclamés de RSE qui sont évalués par ceux qui les vendent alors même que leur métier n’est pas de réaliser des audits de labellisation. • Sans évaluation indépendante externe, le label dispose de peu de crédibilité et de légitimité.